10 janvier 2007
Lionel MARTY
Quartier autrefois populaire et vivant
deviendra no man’s land. Tags, graffs, fresques restent seuls pour
introduire rythmes et vie. Pour combien de temps encore ?
Culture venu d’ailleurs a remplacé la sortie d’usine.
L’arrêt de bus comme stoppé en pleine nature,
abandonné. Une culture ouvrière a disparu
provisoirement remplacée par un esthétisme d’outre
atlantique. Ces friches donneront-elles naissance, à l’image
de la jumelle de l’autre rive, à une ville
« néo-stalinienne » ? .
Hommes et échanges sont-ils
condamnés au nom de la modernité et de la sécurité
?
Lionel MARTY, l’auteur de ce parcours
photographique à la Bastide semble le redouter.
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