10 janvier 2007
Audrey CHASNARD
Poubelles
débordantes des quartiers populaires, poubelles « comme
à la parade » devant les immeubles résidentiels,
enseigne bariolée au « goût de la paix »,
cour intérieure baroque où il a fait bon partager entre
amis et voisins, Bacalan en fin de course,
à moins qu’une mort tranquille attende bateaux et vieille
femme à casquette, entre végétation improbable
et soda américanisé où se situe le véritable danger?
Audrey
CHASSENARD nous a proposé une ville mise à nu qui va
jusqu’à faire sécher ses pantalons aux fenêtres.
Que peut-on comprendre ?
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